REFUS DU PROJET GNL QUÉBEC: UNE VICTOIRE CLIMATIQUE POUR LES FORCES ÉTUDIANTES ET CITOYENNES
QUÉBEC, 21 juillet 2021 – Le ministre de l’environnement, Benoît Charette, et la ministre responsable de la région du Saguenay–Lac-Saint-Jean, Andrée Laforest, ont annoncé, aujourd’hui, le rejet du projet GNL Québec, une demande que portait la coalition étudiante Arrêtons GNL depuis un an.
UNE MOBILISATION ÉTUDIANTE QUI A PORTÉ FRUIT
“Le rejet du projet GNL Québec marque aujourd’hui un pas dans la bonne direction pour lutter contre les changements climatiques. Une victoire comme celle-ci montre l’importance de la coalition des forces étudiantes, et démontre son potentiel pour faire pression sur l’État afin d’avoir les politiques climatiques dont nous avons urgemment besoin afin d’éviter la catastrophe climatique.”, affirme Simon Guiroy, coordonnateur et porte-parole de la coalition Arrêtons GNL.
Depuis août 2020, les étudiantes et les étudiants de la coalition se mobilisent pour que le projet GNL Québec ne voie pas le jour en raison des impacts qu’il aurait sur le climat et sur le fjord du Saguenay. À travers le plus haut taux de mémoires envoyés au Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE), la jeunesse a décrié son désaccord avec le projet. C’est ensuite par des manifestations et des rencontres avec les élu.es provinciaux.ales que la coalition a fait valoir la gravité d’un projet comme GNL. Cette mobilisation a mené, aujourd’hui, au refus définitif du projet. “On a la démonstration que l’implication citoyenne de la communauté étudiante mène à une transition écologique concrète”, rappelle Samuel Poitras, président de l’Union étudiante du Québec.
UN PROJET DANGEREUX POUR LE CLIMAT PARMI TANT D’AUTRES
“C’était la moindre des choses que de refuser le projet GNL Québec. Il était nécessaire, dans un contexte de crise climatique, que le gouvernement n’endosse pas ce projet”, mentionne Samuel Vaillancourt, président de la Fédération étudiante collégiale du Québec.
Rappelons que GNL Québec aurait, à lui seul, annulé tous les efforts du Québec de réduction de gaz à effet de serre. Pourtant, le gouvernement Legault a tardé à mettre fin aux jours dudit projet. “Présentement, de nombreux projets d’énergies fossiles sont sur la table au Canada. Si la jeunesse a réussi aujourd’hui a arrêté le projet GNL, rien n’est encore gagné pour les autres. La lutte doit se poursuivre pour qu’aucun autre projet de la sorte puisse voir le jour.”, affirme M. Guiroy. La population étudiante du Québec restera à l’affût des projets nocifs pour l’environnement dans les prochaines années et travaillera à faire couler ceux qui pourraient avoir de graves conséquences sur le climat.
À PROPOS DE ARRÊTONS GNL
La coalition Arrêtons GNL regroupe la majorité des associations étudiantes collégiales et universitaires au Québec, totalisant plus de 330 000 membres de la population étudiante, ayant pour but de mener le gouvernement du Québec à refuser le projet d'énergies fossiles GNL Québec.
Membres de la Coalition Arrêtons GNL :
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SOURCE
Fédération étudiante collégiale du Québec (FECQ)
INFORMATIONS
Simon Guiroy, coordonnateur et porte-parole (Coalition étudiante Arrêtons GNL)
514 730-7945
[email protected]
Claudie Lévesque, vice-présidente et attachée de presse (FECQ)
(514) 554-0576
[email protected]
Alexandre Ducharme, attaché politique (UEQ)
514 497-2602
[email protected]
UNE MOBILISATION ÉTUDIANTE QUI A PORTÉ FRUIT
“Le rejet du projet GNL Québec marque aujourd’hui un pas dans la bonne direction pour lutter contre les changements climatiques. Une victoire comme celle-ci montre l’importance de la coalition des forces étudiantes, et démontre son potentiel pour faire pression sur l’État afin d’avoir les politiques climatiques dont nous avons urgemment besoin afin d’éviter la catastrophe climatique.”, affirme Simon Guiroy, coordonnateur et porte-parole de la coalition Arrêtons GNL.
Depuis août 2020, les étudiantes et les étudiants de la coalition se mobilisent pour que le projet GNL Québec ne voie pas le jour en raison des impacts qu’il aurait sur le climat et sur le fjord du Saguenay. À travers le plus haut taux de mémoires envoyés au Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE), la jeunesse a décrié son désaccord avec le projet. C’est ensuite par des manifestations et des rencontres avec les élu.es provinciaux.ales que la coalition a fait valoir la gravité d’un projet comme GNL. Cette mobilisation a mené, aujourd’hui, au refus définitif du projet. “On a la démonstration que l’implication citoyenne de la communauté étudiante mène à une transition écologique concrète”, rappelle Samuel Poitras, président de l’Union étudiante du Québec.
UN PROJET DANGEREUX POUR LE CLIMAT PARMI TANT D’AUTRES
“C’était la moindre des choses que de refuser le projet GNL Québec. Il était nécessaire, dans un contexte de crise climatique, que le gouvernement n’endosse pas ce projet”, mentionne Samuel Vaillancourt, président de la Fédération étudiante collégiale du Québec.
Rappelons que GNL Québec aurait, à lui seul, annulé tous les efforts du Québec de réduction de gaz à effet de serre. Pourtant, le gouvernement Legault a tardé à mettre fin aux jours dudit projet. “Présentement, de nombreux projets d’énergies fossiles sont sur la table au Canada. Si la jeunesse a réussi aujourd’hui a arrêté le projet GNL, rien n’est encore gagné pour les autres. La lutte doit se poursuivre pour qu’aucun autre projet de la sorte puisse voir le jour.”, affirme M. Guiroy. La population étudiante du Québec restera à l’affût des projets nocifs pour l’environnement dans les prochaines années et travaillera à faire couler ceux qui pourraient avoir de graves conséquences sur le climat.
À PROPOS DE ARRÊTONS GNL
La coalition Arrêtons GNL regroupe la majorité des associations étudiantes collégiales et universitaires au Québec, totalisant plus de 330 000 membres de la population étudiante, ayant pour but de mener le gouvernement du Québec à refuser le projet d'énergies fossiles GNL Québec.
Membres de la Coalition Arrêtons GNL :
- Fédération étudiante collégiale du Québec - FECQ
- Union étudiante du Québec - UEQ
- Confédération des Associations d'étudiants et étudiantes de l'Université Laval - CADEUL
- Fédération des associations étudiantes du campus de l'Université de Montréal - FAÉCUM
- Fédération étudiante de l'Université de Sherbrooke - FEUS
- Students' Society of McGill University - SSMU
- Concordia Student Union - CSU
- Association étudiante de Polytechnique - AEP
- Association étudiante de l'École de technologie supérieure - AÉETS
- Association générale des étudiant(e)s de l'Université du Québec à Trois-Rivières - AGEUQTR
- Mouvement des associations générales étudiantes de l'Université du Québec à Chicoutimi - MAGE-UQAC
- Association générale étudiante du campus de Rimouski de l'UQAR - AGECAR
- Association générale des étudiantes et étudiants du Cégep de Jonquière - AGEECJ
- Association générale étudiante de l'UQAT - AGEUQAT
- Association facultaire étudiante de langues et communication - AFELC-UQAM
- Association Générale des étudiants du Collège Laflèche de Trois-Rivières - AGECLTR
- Association des étudiantes et des étudiants de Laval inscrits aux études supérieures - AELIÉS
- Association étudiante du Centre Urbanisation Culture Société - AEUCS-INRS
- Regroupement étudiant de maîtrise, diplôme et doctorat de l'Université de Sherbrooke - REMDUS
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SOURCE
Fédération étudiante collégiale du Québec (FECQ)
INFORMATIONS
Simon Guiroy, coordonnateur et porte-parole (Coalition étudiante Arrêtons GNL)
514 730-7945
[email protected]
Claudie Lévesque, vice-présidente et attachée de presse (FECQ)
(514) 554-0576
[email protected]
Alexandre Ducharme, attaché politique (UEQ)
514 497-2602
[email protected]