TEMPS DES FÊTES : LA FECQ SALUE L'ÉCOUTE DE FRANÇOIS LEGAULT
MONTRÉAL, le 15 décembre 2020 – La Fédération étudiante collégiale du Québec (FECQ) lève son chapeau devant l'annonce du premier ministre permettant aux personnes seules de rejoindre une cellule familiale pour briser l'isolement. Elle abonde dans le sens du premier ministre qui juge « normal » qu'une personne étudiante retourne dans sa famille pour le congé des Fêtes. C'est d'ailleurs une proposition a adressée au gouvernement pour la population étudiante lorsqu'il a annoncé l'interdiction de se rassembler le 3 décembre dernier.
« Enfin, nous sentons que les réalités étudiantes sont prises en compte dans les décisions liées à la crise. Cette annonce est nécessairement bien accueillie, mais surtout, saluée! », souligne Noémie Veilleux, présidente de la Fédération. « Bien entendu, tous sont amenés à agir avec prudence. Si retourner dans sa famille représente un risque trop important, il faut savoir se montrer résilient pour protéger nos proches », ajoute Mme Veilleux.
Cet assouplissement momentané aux restrictions en vigueur permettra à la population étudiante de reprendre son souffle le temps d’un instant, alors qu’on apprenait récemment par le biais d’une enquête que c’est 64 % de la population étudiante collégiale qui considère que son état de santé psychologique s’est détérioré depuis le début de la crise.
« Permettre aux étudiants de se joindre à leur famille durant le temps des Fêtes sera oui, un baume sur le coeur de ceux qui se trouvent loin de chez eux et qui vivent de l’isolement, mais c’est surtout un gage de confiance envers la jeunesse », explique Mme Veilleux. « Qui sait, cette décision nous évitera peut-être d’être confrontés à une vague de décrochage scolaire massive cet hiver ».
Cet assouplissement momentané aux restrictions en vigueur permettra à la population étudiante de reprendre son souffle le temps d’un instant, alors qu’on apprenait récemment par le biais d’une enquête que c’est 64 % de la population étudiante collégiale qui considère que son état de santé psychologique s’est détérioré depuis le début de la crise.
« L’état de santé psychologique de la population étudiante est en chute libre depuis le début de la pandémie; le gouvernement l’a enfin compris et instaure des mesures prudentes, naturellement, mais surtout cohérentes et encourageantes », témoigne finalement la présidente de la FECQ.
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SOURCE Fédération étudiante collégiale du Québec
INFORMATIONS Rafaël Leblanc-Pageau, vice-président et attaché de presse (FECQ)
514 554-0576
[email protected]
« Enfin, nous sentons que les réalités étudiantes sont prises en compte dans les décisions liées à la crise. Cette annonce est nécessairement bien accueillie, mais surtout, saluée! », souligne Noémie Veilleux, présidente de la Fédération. « Bien entendu, tous sont amenés à agir avec prudence. Si retourner dans sa famille représente un risque trop important, il faut savoir se montrer résilient pour protéger nos proches », ajoute Mme Veilleux.
Cet assouplissement momentané aux restrictions en vigueur permettra à la population étudiante de reprendre son souffle le temps d’un instant, alors qu’on apprenait récemment par le biais d’une enquête que c’est 64 % de la population étudiante collégiale qui considère que son état de santé psychologique s’est détérioré depuis le début de la crise.
« Permettre aux étudiants de se joindre à leur famille durant le temps des Fêtes sera oui, un baume sur le coeur de ceux qui se trouvent loin de chez eux et qui vivent de l’isolement, mais c’est surtout un gage de confiance envers la jeunesse », explique Mme Veilleux. « Qui sait, cette décision nous évitera peut-être d’être confrontés à une vague de décrochage scolaire massive cet hiver ».
Cet assouplissement momentané aux restrictions en vigueur permettra à la population étudiante de reprendre son souffle le temps d’un instant, alors qu’on apprenait récemment par le biais d’une enquête que c’est 64 % de la population étudiante collégiale qui considère que son état de santé psychologique s’est détérioré depuis le début de la crise.
« L’état de santé psychologique de la population étudiante est en chute libre depuis le début de la pandémie; le gouvernement l’a enfin compris et instaure des mesures prudentes, naturellement, mais surtout cohérentes et encourageantes », témoigne finalement la présidente de la FECQ.
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SOURCE Fédération étudiante collégiale du Québec
INFORMATIONS Rafaël Leblanc-Pageau, vice-président et attaché de presse (FECQ)
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