GNL Québec : Le gouvernement continue de faire la sourde oreille à la population étudiante
MONTRÉAL, le 13 décembre 2020 – Les représentant.es de la coalition étudiante Arrêtons GNL ont amorcé la 2e phase de leur campagne de mobilisation mercredi dernier en rencontrant le cabinet du ministre l'Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques (MLCC), Benoît Charrette, afin de lui demander de rejeter officiellement le projet GNL Québec.
Malgré le consensus scientifique en défaveur du projet GNL Québec et l'opposition citoyenne et étudiante, le ministre refuse de se positionner contre ce mégaprojet d'énergies fossiles à Saguenay qui viserait à transformer, puis à exporter du gaz naturel liquéfié. La coalition Arrêtons GNL, composée de plus de 250 000 membres de la population étudiante, dénonce l'aveuglement volontaire du ministère.
UNE OPPOSITION CITOYENNE FORTE
Selon un article publié dans le Journal Métro, 91 % des 2533 mémoires envoyés au BAPE témoignent d'une opinion défavorable au projet GNL Saguenay. « L'opinion publique est claire, c'est maintenant évident. Le gouvernement carillonne de gouverner pour le peuple. Cette fois-ci, il a parlé et il faut l'écouter », expose Noémie Veilleux, présidente de la Fédération étudiante collégiale du Québec (FECQ).
« Les associations étudiantes réunies dans la coalition Arrêtons GNL ont grandement contribué à l'envoi de mémoires au BAPE, aux côtés d'autres groupes étudiants et de la société civile, lors de la 1re phase de la campagne. Visiblement, ça a porté ses fruits », exprime Simon Guiroy, coordonnateur et porte-parole de la coalition.
« Le plus grand nombre de mémoires que le BAPE ait jamais reçu, ce n'est pas rien. La mobilisation entourant ce projet démontre bien que la jeunesse est opposée au développement au Québec d'un projet qui dépend des énergies fossiles. », souligne Jade Marcil, présidente de l'Union étudiante du Québec.
UN RAS-LE-BOL DES INCOHÉRENCES
Il y a quelques semaines, le ministre Charette a déposé son Plan pour une économie verte (PEV) visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES) lors des années à venir. « En ne s'opposant pas à un tel projet néfaste pour la crise climatique et l'environnement, il annule complètement les avancées que permettraient le PEV, ce qui est à la fois contre-productif et incohérent », rappelle M. Guiroy.
PRESSION POLITIQUE
Au cours des prochaines semaines, pour la phase-2 de leur campagne, les associations étudiantes rencontreront des députés de différents endroits au Québec afin de faire pression à l'Assemblée nationale et sur le gouvernement. « On veut montrer que c'est un enjeu national, qui touche la jeunesse de toute la province. On appelle à une mobilisation importante afin de montrer notre opposition à un projet qui appartient au passé », explique Mme Veilleux.
À PROPOS DE ARRÊTONS GNL
Arrêtons GNL est une coalition composée d'associations étudiantes collégiales et universitaires totalisant plus de 250 000 membres de la population étudiante, qui a pour but de mener le gouvernement du Québec à refuser le projet d'énergies fossiles GNL Québec. La coalition comprend de nombreuses associations étudiantes locales présentes notamment dans les régions du Saguenay-Lac-Saint-Jean, de la Mauricie, de l'Abitibi-Témiscamingue, de Montréal, de Québec, de l'Estrie, du Bas Saint-Laurent, de la Gaspésie et de la Côte-Nord.
Membres de la Coalition Arrêtons GNL :
-30-
SOURCE Fédération étudiante collégiale du Québec
INFORMATIONS Rafaël Leblanc-Pageau, vice-président et attaché de presse (FECQ)
514 554-0576
[email protected]
Simon Guiroy, coordonnateur et porte-parole (Arrêtons GNL)
514 730-7945
[email protected]
Alexandre Ducharme, attaché politique (UEQ)
514 497-2602
[email protected]
Malgré le consensus scientifique en défaveur du projet GNL Québec et l'opposition citoyenne et étudiante, le ministre refuse de se positionner contre ce mégaprojet d'énergies fossiles à Saguenay qui viserait à transformer, puis à exporter du gaz naturel liquéfié. La coalition Arrêtons GNL, composée de plus de 250 000 membres de la population étudiante, dénonce l'aveuglement volontaire du ministère.
UNE OPPOSITION CITOYENNE FORTE
Selon un article publié dans le Journal Métro, 91 % des 2533 mémoires envoyés au BAPE témoignent d'une opinion défavorable au projet GNL Saguenay. « L'opinion publique est claire, c'est maintenant évident. Le gouvernement carillonne de gouverner pour le peuple. Cette fois-ci, il a parlé et il faut l'écouter », expose Noémie Veilleux, présidente de la Fédération étudiante collégiale du Québec (FECQ).
« Les associations étudiantes réunies dans la coalition Arrêtons GNL ont grandement contribué à l'envoi de mémoires au BAPE, aux côtés d'autres groupes étudiants et de la société civile, lors de la 1re phase de la campagne. Visiblement, ça a porté ses fruits », exprime Simon Guiroy, coordonnateur et porte-parole de la coalition.
« Le plus grand nombre de mémoires que le BAPE ait jamais reçu, ce n'est pas rien. La mobilisation entourant ce projet démontre bien que la jeunesse est opposée au développement au Québec d'un projet qui dépend des énergies fossiles. », souligne Jade Marcil, présidente de l'Union étudiante du Québec.
UN RAS-LE-BOL DES INCOHÉRENCES
Il y a quelques semaines, le ministre Charette a déposé son Plan pour une économie verte (PEV) visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES) lors des années à venir. « En ne s'opposant pas à un tel projet néfaste pour la crise climatique et l'environnement, il annule complètement les avancées que permettraient le PEV, ce qui est à la fois contre-productif et incohérent », rappelle M. Guiroy.
PRESSION POLITIQUE
Au cours des prochaines semaines, pour la phase-2 de leur campagne, les associations étudiantes rencontreront des députés de différents endroits au Québec afin de faire pression à l'Assemblée nationale et sur le gouvernement. « On veut montrer que c'est un enjeu national, qui touche la jeunesse de toute la province. On appelle à une mobilisation importante afin de montrer notre opposition à un projet qui appartient au passé », explique Mme Veilleux.
À PROPOS DE ARRÊTONS GNL
Arrêtons GNL est une coalition composée d'associations étudiantes collégiales et universitaires totalisant plus de 250 000 membres de la population étudiante, qui a pour but de mener le gouvernement du Québec à refuser le projet d'énergies fossiles GNL Québec. La coalition comprend de nombreuses associations étudiantes locales présentes notamment dans les régions du Saguenay-Lac-Saint-Jean, de la Mauricie, de l'Abitibi-Témiscamingue, de Montréal, de Québec, de l'Estrie, du Bas Saint-Laurent, de la Gaspésie et de la Côte-Nord.
Membres de la Coalition Arrêtons GNL :
- Fédération étudiante collégiale du Québec - FECQ
- Union étudiante du Québec - UEQ
- Mouvement des associations générales étudiantes de l'Université du Québec à Chicoutimi - MAGE-UQAC
- Confédération des associations d'étudiants et étudiantes de l'Université Laval - CADEUL
- Fédération étudiante de l'Université de Sherbrooke - FEUS
- Association étudiante de l'École de technologie supérieure - AÉETS
- Association générale des étudiant(e)s de l'Université du Québec à Trois-Rivières - AGEUQTR
- Association générale étudiante du campus de Rimouski de l'UQAR - AGECAR
- Association facultaire étudiante de langues et communication - AFELC-UQAM
- Association générale des étudiants du Collège Laflèche de Trois-Rivières - AGECLTR
- Association générale des étudiantes et étudiants du Cégep de Jonquière - AGGECJ
-30-
SOURCE Fédération étudiante collégiale du Québec
INFORMATIONS Rafaël Leblanc-Pageau, vice-président et attaché de presse (FECQ)
514 554-0576
[email protected]
Simon Guiroy, coordonnateur et porte-parole (Arrêtons GNL)
514 730-7945
[email protected]
Alexandre Ducharme, attaché politique (UEQ)
514 497-2602
[email protected]