LA FECQ MONTRE L’URGENCE D’AGIR DANS
L’ADOPTION DES POLITIQUES CONTRE LES VIOLENCES SEXUELLES
MONTRÉAL, le 13 novembre 2018 – Radio-Canada rapporte ce matin que des établissements tardent à se conformer à la loi et à adopter des politiques de lutte aux violences à caractère sexuel. La Fédération étudiante collégiale du Québec (FECQ) veut rappeler l’urgence d’agir et appelle tous les acteurs à l’action.
Si des cégeps et des universités s’avèrent en retard dans l’adoption de ces politiques, c’est l’offre de services aux survivantes et survivants qui risquent d’écoper. La FECQ s’inquiète donc que ces délais importunent l’aide qui sera prévue dans ces politiques. Le processus de concertation doit également être respecté, les étudiants et les autres membres des communautés doivent être inclus dans la rédaction de ces politiques.
CITATIONS
« Il y a urgence d'agir dans la lutte aux violences à caractère sexuel. C'est très important que les milieux, dont les étudiants, soient consultés dans le processus. », indique Fred-William Mireault, Président de la FECQ.
« Si les politiques ne sont pas adoptées à temps, ça voudra dire que les services prévus et les guichets uniques seront en retard aussi. Les survivantes et survivants de violences à caractère sexuel ne peuvent plus attendre! Il faut que la loi tienne: les établissements doivent consulter et agir vite. », affirme M. Mireault.
À PROPOS
La Fédération étudiante collégiale du Québec (FECQ) représente près de 78 000 étudiantes et étudiants provenant de 26 cégeps répartis sur tout le territoire québécois. Depuis plus de 25 ans, elle contribue à l’amélioration des conditions de vie et d’études de la population étudiante collégiale québécoise en étant la seule organisation à représenter exclusivement leurs intérêts.
-30-
SOURCE
Fédération étudiante collégiale du Québec
INFORMATIONS
Philippe Clément, vice-président et attaché de presse de la FECQ
Cell. 514 554-0576
[email protected]
Si des cégeps et des universités s’avèrent en retard dans l’adoption de ces politiques, c’est l’offre de services aux survivantes et survivants qui risquent d’écoper. La FECQ s’inquiète donc que ces délais importunent l’aide qui sera prévue dans ces politiques. Le processus de concertation doit également être respecté, les étudiants et les autres membres des communautés doivent être inclus dans la rédaction de ces politiques.
CITATIONS
« Il y a urgence d'agir dans la lutte aux violences à caractère sexuel. C'est très important que les milieux, dont les étudiants, soient consultés dans le processus. », indique Fred-William Mireault, Président de la FECQ.
« Si les politiques ne sont pas adoptées à temps, ça voudra dire que les services prévus et les guichets uniques seront en retard aussi. Les survivantes et survivants de violences à caractère sexuel ne peuvent plus attendre! Il faut que la loi tienne: les établissements doivent consulter et agir vite. », affirme M. Mireault.
À PROPOS
La Fédération étudiante collégiale du Québec (FECQ) représente près de 78 000 étudiantes et étudiants provenant de 26 cégeps répartis sur tout le territoire québécois. Depuis plus de 25 ans, elle contribue à l’amélioration des conditions de vie et d’études de la population étudiante collégiale québécoise en étant la seule organisation à représenter exclusivement leurs intérêts.
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Fédération étudiante collégiale du Québec
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