LA FECQ SALUE LES PROPOSITIONS DU CONSEIL SUPÉRIEUR DE L’ÉDUCATION
MONTRÉAL, le 10 septembre 2015 – La Fédération étudiante collégiale du Québec (FECQ) voit d’un bon œil les propositions retrouvées dans l’avis du Conseil supérieur de l’éducation au sujet du réseau collégial. Elle demande ainsi au ministre de l’Éducation, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, François Blais, de rapidement donner suite au rapport et d’y engager les sommes nécessaires.
L’avis du Conseil de l’éducation supérieur (CSE) propose notamment l’implantation de nouveaux programmes plus avancés au niveau collégial. Aux yeux des représentants de la FECQ, cette mesure permettrait de renforcer la crédibilité de la formation collégiale et l’apport du réseau des cégeps à la société québécoise.
Par son rapport, le CSE reconnaît l’héritage de la formation collégiale technique et, plus important encore, le Conseil reconnaît la pertinence du modèle des cégeps et déclare qu’on peut largement s’en inspirer pour continuer à développer l’enseignement supérieur au Québec. Concrètement, il propose d’ajouter quatre autres types de diplômes collégiaux. Ces diplômes seraient délivrés à l’issue d’une formation plus complète, d’une plus longue durée, de grade collégial ou en collaboration avec le milieu universitaire.
La FECQ est heureuse de constater qu’on souhaite s’appuyer sur le modèle collégial pour le développement de l’enseignement supérieur au Québec. « Les cégeps ont été conçus dans une visée de démocratisation de l’éducation postsecondaire. Ils sont plus accessibles à la fois financièrement et géographiquement et miser sur le développement de nouveaux champs de compétences dans ces institutions est signe que l’évolution des études supérieures va dans la bonne direction », affirme le président de la FECQ, Antoine Côté.
Référence concernant les exigences de formation
La Fédération salue également la volonté du Conseil d’établir une référence relative aux exigences de formation. Ce référentiel et l’implantation des nouveaux diplômes doivent se faire en partenariat avec les acteurs du milieu collégial pour éviter, notamment, d’amplifier les disparités entre les collèges. « Le développement de l’enseignement supérieur doit se faire équitablement dans l’ensemble du réseau. Il est primordial que ces nouveaux programmes permettent aux étudiants de l’ensemble du Québec d’acquérir de nouvelles compétences, sans égard pour leur situation géographique », poursuit le président de l’organisation.
La FECQ est également très heureuse que l’ensemble des propositions du CSE laisse intacte la place de la formation générale au cégep. « Le tronc commun d’enseignement compris dans la formation générale au cégep offre un volet indispensable au développement de l’esprit critique et à la formation de jeunes adultes à la citoyenneté plus active », rappelle M. Côté.
La Fédération souhaite participer aux suites de ces propositions et demande au ministre de l’Éducation, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, François Blais, de rapidement donner suite à ce rapport et d’y engager les sommes nécessaires.
-Philippe Maltais-Guilbault-
Coopérative Belvédère communication
L’avis du Conseil de l’éducation supérieur (CSE) propose notamment l’implantation de nouveaux programmes plus avancés au niveau collégial. Aux yeux des représentants de la FECQ, cette mesure permettrait de renforcer la crédibilité de la formation collégiale et l’apport du réseau des cégeps à la société québécoise.
Par son rapport, le CSE reconnaît l’héritage de la formation collégiale technique et, plus important encore, le Conseil reconnaît la pertinence du modèle des cégeps et déclare qu’on peut largement s’en inspirer pour continuer à développer l’enseignement supérieur au Québec. Concrètement, il propose d’ajouter quatre autres types de diplômes collégiaux. Ces diplômes seraient délivrés à l’issue d’une formation plus complète, d’une plus longue durée, de grade collégial ou en collaboration avec le milieu universitaire.
La FECQ est heureuse de constater qu’on souhaite s’appuyer sur le modèle collégial pour le développement de l’enseignement supérieur au Québec. « Les cégeps ont été conçus dans une visée de démocratisation de l’éducation postsecondaire. Ils sont plus accessibles à la fois financièrement et géographiquement et miser sur le développement de nouveaux champs de compétences dans ces institutions est signe que l’évolution des études supérieures va dans la bonne direction », affirme le président de la FECQ, Antoine Côté.
Référence concernant les exigences de formation
La Fédération salue également la volonté du Conseil d’établir une référence relative aux exigences de formation. Ce référentiel et l’implantation des nouveaux diplômes doivent se faire en partenariat avec les acteurs du milieu collégial pour éviter, notamment, d’amplifier les disparités entre les collèges. « Le développement de l’enseignement supérieur doit se faire équitablement dans l’ensemble du réseau. Il est primordial que ces nouveaux programmes permettent aux étudiants de l’ensemble du Québec d’acquérir de nouvelles compétences, sans égard pour leur situation géographique », poursuit le président de l’organisation.
La FECQ est également très heureuse que l’ensemble des propositions du CSE laisse intacte la place de la formation générale au cégep. « Le tronc commun d’enseignement compris dans la formation générale au cégep offre un volet indispensable au développement de l’esprit critique et à la formation de jeunes adultes à la citoyenneté plus active », rappelle M. Côté.
La Fédération souhaite participer aux suites de ces propositions et demande au ministre de l’Éducation, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, François Blais, de rapidement donner suite à ce rapport et d’y engager les sommes nécessaires.
-Philippe Maltais-Guilbault-
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