30 ANS DE MILITANTISME : LA FECQ CONTINUE D’AVANCER
MONTRÉAL, le 10 décembre 2020 – Afin d’honorer ses 30 ans d’existence, la Fédération étudiante collégiale du Québec (FECQ) dédie une page de son site web aux moments marquants de son histoire. Alors qu’elle est la plus vieille association étudiante nationale du Québec, le véhicule qu’est la Fédération n’a jamais cessé de s’adapter et d’évoluer au gré des générations.
UNE LIGNE DU TEMPS
De la fondation de la FECQ aux grèves de 2005 et 2012, de la taxe à l’échec aux bonifications de l’aide financière aux études, le site web de la FECQ relate maintenant les luttes étudiantes marquantes. « En 30 ans de solidarité, de militantisme et de mobilisations, les associations étudiantes collégiales n’ont jamais cessé de progresser, de peaufiner la pertinence de leurs actions, et savent se faire entendre plus que jamais », explique Noémie Veilleux, présidente de la FECQ.
CÉLÉBRER EN TEMPS DE CRISE SANITAIRE
Souligner le 30e printemps d’une fédération étudiante pendant une pandémie mondiale représente une opportunité d’ancrer la présence et l’efficacité des associations étudiantes collégiales dans la société civile. « Alors qu’on craignait que l’intérêt pour l’implication ne s’amenuise en raison des conditions d’études difficiles, nous avons plutôt observé l’inverse : les associations sont proactives, proches de leurs membres et se positionnent comme actrices essentielles auprès du gouvernement », observe Mme Veilleux.
QUELQUES AVANCÉES SIGNIFICATIVES
En vrac, voici quelques événements se trouvant sur la ligne du temps :
Si la crise actuelle demande au mouvement étudiant de se réinventer, les suites de celle-ci seront d’autant plus cruciales. Alors que dans les dernières années, les associations étudiantes soulignaient plusieurs avancées significatives, bien du chemin reste à parcourir pour atteindre une accessibilité aux études supérieures pour toutes et tous.
« L’expérience qu’a acquise la FECQ au fil des ans lui permettra de renforcer ses moyens d’actions, mais aussi de continuer à faire évoluer les conditions d’études de la population étudiante » souligne finalement Noémie Veilleux.
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SOURCE Fédération étudiante collégiale du Québec
INFORMATIONS Rafaël Leblanc-Pageau, vice-président et attaché de presse
514 554-0576
[email protected]
UNE LIGNE DU TEMPS
De la fondation de la FECQ aux grèves de 2005 et 2012, de la taxe à l’échec aux bonifications de l’aide financière aux études, le site web de la FECQ relate maintenant les luttes étudiantes marquantes. « En 30 ans de solidarité, de militantisme et de mobilisations, les associations étudiantes collégiales n’ont jamais cessé de progresser, de peaufiner la pertinence de leurs actions, et savent se faire entendre plus que jamais », explique Noémie Veilleux, présidente de la FECQ.
CÉLÉBRER EN TEMPS DE CRISE SANITAIRE
Souligner le 30e printemps d’une fédération étudiante pendant une pandémie mondiale représente une opportunité d’ancrer la présence et l’efficacité des associations étudiantes collégiales dans la société civile. « Alors qu’on craignait que l’intérêt pour l’implication ne s’amenuise en raison des conditions d’études difficiles, nous avons plutôt observé l’inverse : les associations sont proactives, proches de leurs membres et se positionnent comme actrices essentielles auprès du gouvernement », observe Mme Veilleux.
QUELQUES AVANCÉES SIGNIFICATIVES
En vrac, voici quelques événements se trouvant sur la ligne du temps :
- 2001 : Abolition de la taxe à l’échec;
- 2005 : Annulation des coupures de 103 M$ en Aide financière aux études;
- 2012 : Annulation de la hausse des frais de scolarité universitaires de 1625 $;
- 2016 : Investissements en aide financières aux études (80M$);
- 2018 : Dépôt du projet de loi; Loi visant à prévenir et à combattre les violences à caractère sexuel dans les établissements d’enseignement supérieur;
- 2019 : Création du programme de bourses pour les stagiaires (35M$);
- 2020 : Investissements en aide financière aux études (300M$);
- 2020 : Avancées significatives sur les protections légales des stagiaires.
Si la crise actuelle demande au mouvement étudiant de se réinventer, les suites de celle-ci seront d’autant plus cruciales. Alors que dans les dernières années, les associations étudiantes soulignaient plusieurs avancées significatives, bien du chemin reste à parcourir pour atteindre une accessibilité aux études supérieures pour toutes et tous.
« L’expérience qu’a acquise la FECQ au fil des ans lui permettra de renforcer ses moyens d’actions, mais aussi de continuer à faire évoluer les conditions d’études de la population étudiante » souligne finalement Noémie Veilleux.
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SOURCE Fédération étudiante collégiale du Québec
INFORMATIONS Rafaël Leblanc-Pageau, vice-président et attaché de presse
514 554-0576
[email protected]