DEC EN SOINS INFIRMIERS: LA FECQ ACCUEILLE FAVORABLEMENT LE DÉMARRAGE D’UNE ANALYSE SECTORIELLE PROSPECTIVE
MONTRÉAL, le 9 janv. 2014 /CNW Telbec/ – La Fédération étudiante collégiale du Québec accueille favorablement la décision des ministres de la Santé et des Services Sociaux (MSSS) et de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche, de la Science et de la Technologie (MESRST) de fermer la porte au BAC obligatoire et de procéder à une analyse sectorielle prospective afin de connaitre les réels besoins du réseau de la santé.
Pour la Fédération, c’est le résultat de deux ans de sensibilisation et de représentation politique. La FECQ demandait à ce que soit maintenu le DEC qualifiant en soins infirmiers et de procéder à une étude de la situation de travail avant de faire des changements dans la formation collégiale.
« Cet enjeu en était un de taille pour nos membres qui craignait que le gouvernement aille de l’avant avec la demande de l’OIIQ, ce qui aurait eu de graves conséquences sur le milieu de la santé, le réseau collégial et l’accessibilité à cette profession. Le DEC en soins infirmiers forme plus de 2000 infirmiers et infirmières par année, dans 43 cégeps à travers le Québec. Et ces jeunes diplômés sont reconnus pour leurs compétences. C’est une excellente nouvelle que le MSSS et le MESRST aient décidé de fermer la porte au BAC obligatoire et de déclencher une analyse sectorielle. »
La FECQ suivra de près le déroulement de l’analyse ainsi que les conclusions de celle-ci. De plus, elle rappelle que les deux ministères devront aussi regarder à améliorer les passerelles DES-DEC et DEC-BAC.
Émilie Joly
Attachée de presse
514 358-6364
[email protected]
MONTRÉAL, le 9 janv. 2014 /CNW Telbec/ – La Fédération étudiante collégiale du Québec accueille favorablement la décision des ministres de la Santé et des Services Sociaux (MSSS) et de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche, de la Science et de la Technologie (MESRST) de fermer la porte au BAC obligatoire et de procéder à une analyse sectorielle prospective afin de connaitre les réels besoins du réseau de la santé.
Pour la Fédération, c’est le résultat de deux ans de sensibilisation et de représentation politique. La FECQ demandait à ce que soit maintenu le DEC qualifiant en soins infirmiers et de procéder à une étude de la situation de travail avant de faire des changements dans la formation collégiale.
« Cet enjeu en était un de taille pour nos membres qui craignait que le gouvernement aille de l’avant avec la demande de l’OIIQ, ce qui aurait eu de graves conséquences sur le milieu de la santé, le réseau collégial et l’accessibilité à cette profession. Le DEC en soins infirmiers forme plus de 2000 infirmiers et infirmières par année, dans 43 cégeps à travers le Québec. Et ces jeunes diplômés sont reconnus pour leurs compétences. C’est une excellente nouvelle que le MSSS et le MESRST aient décidé de fermer la porte au BAC obligatoire et de déclencher une analyse sectorielle. »
La FECQ suivra de près le déroulement de l’analyse ainsi que les conclusions de celle-ci. De plus, elle rappelle que les deux ministères devront aussi regarder à améliorer les passerelles DES-DEC et DEC-BAC.
Émilie Joly
Attachée de presse
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