Projet gnl québec : la fecq envoie son opinion au bape
MONTRÉAL, 22 octobre – Dans le cadre des consultations citoyennes du Bureau d’audiences publiques en environnement (BAPE), la Fédération étudiante collégiale du Québec (FECQ) fait parvenir un mémoire présentant son opinion contre le projet GNL Québec, en s’inscrivant dans un vaste mouvement étudiant et citoyen visant à bloquer le projet en question.
MOBILISATION ÉTUDIANTE
La FECQ emboîte ainsi le pas à plusieurs membres de la population étudiante, appelés à envoyer au BAPE leur avis sur le projet GNL Québec, entre autres dans le cadre de la campagne Arrêtons GNL. « En s’alliant, on peut faire tomber ce projet d’une autre époque, qui ne fait que diminuer drastiquement nos chances de relever le défi de la lutte aux changements climatiques », énonce Noémie Veilleux, présidente de la FECQ.
Alors que des milliers d’étudiants ont pris la rue le 27 septembre 2019 et que la jeunesse québécoise exprime clairement son souhait que la lutte aux changements climatiques soit au cœur des préoccupations du gouvernement, la population étudiante se voit encore obligée de lutter contre un projet qui ne reflète pas sa vision de la société de demain. Elle se montre, encore une fois, aux premières loges, en s’opposant de manière concrète au projet GNL Québec.
AUCUN AVANTAGE
Le projet GNL Québec ne comporte aucun avantage, de rappeler la Fédération. D’abord, en émettant près de 40 millions de tonnes de gaz à effets de serre (GES) par année, il annulerait tous les efforts du Québec en matière de luttes aux changements climatiques. « La tenue d’un tel projet va à l’encontre de la vision qu’a la jeunesse pour notre futur. Pour la population étudiante, qui vivra les conséquences futures de ce choix, c’est aberrant », scande Mme Veilleux.
À PROPOS
La Fédération étudiante collégiale du Québec (FECQ) représente près de 78 000 étudiantes et étudiants provenant de 27 cégeps répartis sur tout le territoire québécois. Depuis 30 ans, elle contribue à l’amélioration des conditions de vie et d’études de la population étudiante collégiale québécoise en étant la seule organisation à représenter exclusivement leurs intérêts.
-30-
SOURCE Fédération étudiante collégiale du Québec
INFORMATIONS Rafaël Leblanc-Pageau, vice-président et attaché de presse
514 554-0576
[email protected]
MOBILISATION ÉTUDIANTE
La FECQ emboîte ainsi le pas à plusieurs membres de la population étudiante, appelés à envoyer au BAPE leur avis sur le projet GNL Québec, entre autres dans le cadre de la campagne Arrêtons GNL. « En s’alliant, on peut faire tomber ce projet d’une autre époque, qui ne fait que diminuer drastiquement nos chances de relever le défi de la lutte aux changements climatiques », énonce Noémie Veilleux, présidente de la FECQ.
Alors que des milliers d’étudiants ont pris la rue le 27 septembre 2019 et que la jeunesse québécoise exprime clairement son souhait que la lutte aux changements climatiques soit au cœur des préoccupations du gouvernement, la population étudiante se voit encore obligée de lutter contre un projet qui ne reflète pas sa vision de la société de demain. Elle se montre, encore une fois, aux premières loges, en s’opposant de manière concrète au projet GNL Québec.
AUCUN AVANTAGE
Le projet GNL Québec ne comporte aucun avantage, de rappeler la Fédération. D’abord, en émettant près de 40 millions de tonnes de gaz à effets de serre (GES) par année, il annulerait tous les efforts du Québec en matière de luttes aux changements climatiques. « La tenue d’un tel projet va à l’encontre de la vision qu’a la jeunesse pour notre futur. Pour la population étudiante, qui vivra les conséquences futures de ce choix, c’est aberrant », scande Mme Veilleux.
À PROPOS
La Fédération étudiante collégiale du Québec (FECQ) représente près de 78 000 étudiantes et étudiants provenant de 27 cégeps répartis sur tout le territoire québécois. Depuis 30 ans, elle contribue à l’amélioration des conditions de vie et d’études de la population étudiante collégiale québécoise en étant la seule organisation à représenter exclusivement leurs intérêts.
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SOURCE Fédération étudiante collégiale du Québec
INFORMATIONS Rafaël Leblanc-Pageau, vice-président et attaché de presse
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