LA FECQ SE RÉJOUIT DU TAUX DE PARTICIPATION DES JEUNES AUX ÉLECTIONS FÉDÉRALES
MONTRÉAL, le 25 février 2016 – La Fédération étudiante collégiale du Québec (FECQ) est heureuse de constater que le taux de participation des jeunes à la 42e élection générale du Canada s’est nettement amélioré. La Fédération invite d’ailleurs les partis politiques à saisir la perche que leur tendent les jeunes et à s’intéresser davantage aux enjeux qui les préoccupent au quotidien.
Statistiques Canada annonçait lundi dernier que le taux de participation des jeunes de 18 à 24 ans est de 67%. Selon Antoine Côté, président de la FECQ, c’est la démonstration de l’impact que peut avoir un bureau de vote sur les campus collégiaux et universitaires. « Le taux de participation des jeunes est le meilleur des cinq dernières élections. Nous pouvons nous réjouir d’avoir réussi à intéresser une telle proportion des 18 à 24 ans et nous pouvons certainement célébrer cette avancée notable pour la place des jeunes dans notre société », précise-t-il, en rappelant que les jeunes ne s’étaient exprimés qu’à 55% en 2011, une augmentation de 12 points de pourcentage.
Les partis politiques ont un rôle primordial à jouer
La FECQ presse les différents partis politiques à saisir cette occasion en s’adressant plus fréquemment et plus directement aux nouvelles générations. « En politique, on entend trop souvent dire que la classe politique ne s’intéresse pas aux jeunes parce qu’ils ne votent pas. À cette dernière élection, les jeunes ont envoyé un message aux élus. Ils ont clairement avantage à considérer notre électorat, de la même manière qu’ils le font avec les autres générations », poursuit le président de la FECQ.
Par ailleurs, Antoine Côté salue les 100 premiers jours de mandat du deuxième plus jeune premier ministre de l’histoire du Canada, Justin Trudeau, et l’invite à respecter ses promesses électorales. Par exemple, la FECQ s’intéresse notamment aux propositions visant à améliorer l’accessibilité financière à l’éducation postsecondaire et à instaurer une forme de proportionnalité dans le mode de scrutin pour lutter contre le cynisme ambiant et l’abstentionnisme politique grandissant.
À propos de la FECQ
La Fédération étudiante collégiale du Québec (FECQ) représente près de 65 000 étudiants provenant de 21 cégeps répartis sur tout le territoire québécois. Depuis 25 ans, elle contribue à l’amélioration des conditions de vie et d’études des collégiens.
-Alexandre Banville-
Directeur des opérations, Coopérative Belvédère communication
Statistiques Canada annonçait lundi dernier que le taux de participation des jeunes de 18 à 24 ans est de 67%. Selon Antoine Côté, président de la FECQ, c’est la démonstration de l’impact que peut avoir un bureau de vote sur les campus collégiaux et universitaires. « Le taux de participation des jeunes est le meilleur des cinq dernières élections. Nous pouvons nous réjouir d’avoir réussi à intéresser une telle proportion des 18 à 24 ans et nous pouvons certainement célébrer cette avancée notable pour la place des jeunes dans notre société », précise-t-il, en rappelant que les jeunes ne s’étaient exprimés qu’à 55% en 2011, une augmentation de 12 points de pourcentage.
Les partis politiques ont un rôle primordial à jouer
La FECQ presse les différents partis politiques à saisir cette occasion en s’adressant plus fréquemment et plus directement aux nouvelles générations. « En politique, on entend trop souvent dire que la classe politique ne s’intéresse pas aux jeunes parce qu’ils ne votent pas. À cette dernière élection, les jeunes ont envoyé un message aux élus. Ils ont clairement avantage à considérer notre électorat, de la même manière qu’ils le font avec les autres générations », poursuit le président de la FECQ.
Par ailleurs, Antoine Côté salue les 100 premiers jours de mandat du deuxième plus jeune premier ministre de l’histoire du Canada, Justin Trudeau, et l’invite à respecter ses promesses électorales. Par exemple, la FECQ s’intéresse notamment aux propositions visant à améliorer l’accessibilité financière à l’éducation postsecondaire et à instaurer une forme de proportionnalité dans le mode de scrutin pour lutter contre le cynisme ambiant et l’abstentionnisme politique grandissant.
À propos de la FECQ
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-Alexandre Banville-
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[email protected] 514 396-3320 Adresse: 1000, rue Saint-Antoine Ouest, bureau 409 A, Montréal QC H3C 3R7
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