LANCEMENT DE L’INITIATIVE « ET TOI, TA POLITIQUE? » EN SOUTIEN À L’ENTRÉE EN VIGUEUR DES POLITIQUES CONTRE LES VIOLENCES SEXUELLES
MONTRÉAL, le 1er septembre 2019 – Par leur initiative « Et toi, ta politique? », la Fédération étudiante collégiale du Québec (FECQ), l’Union étudiante du Québec (UEQ) et Québec contre les violences sexuelles (QCVS) soutiennent les établissements et les associations étudiantes dans leurs démarches afin d’assurer des standards minimaux au sein du réseau en matière de formation, de prévention et de sensibilisation aux violences à caractère sexuel.
« Et toi, ta politique? » est une initiative lancée sur les réseaux sociaux afin de recueillir des témoignages d’étudiantes et d’étudiants issus du milieu collégial et universitaire quant aux répercussions de la Loi visant à prévenir et à combattre les violences à caractère sexuel dans les établissements d’enseignement supérieur dans leur milieu d’apprentissage. Cette initiative sert non seulement à souligner les bons coups, mais également à assurer à la population étudiante un accès aux ressources maintenant à sa disposition.
OBJECTIFS DE L’INITIATIVE
CITATIONS
« La loi qui entre en vigueur aujourd’hui est innovante et a le potentiel d’amener une culture de consentement sur les campus. Le ministre Jean-François Roberge doit s’assurer que son déploiement sera conforme à l’esprit qu’on a voulu lui donner et que chaque établissement soit pleinement outillé. », affirme Philippe Clément, président de la Fédération étudiante collégiale du Québec.
« Évidemment, nous appuyons les initiatives mises en place par les universités pour prévenir les violences à caractères sexuels. Le problème, c’est l’inégalité des ressources disponibles d’un établissement à l’autre pour offrir l’environnement le plus sécuritaire possible. C’est pour cette raison que des ressources interétablissements, comme celle-ci, sont nécessaires. », souligne Philippe Lebel, président de l’Union étudiante du Québec.
« Cette initiative est une belle manière de souligner les avancées dans le dossier des violences sexuelles. Cette nouvelle loi, qui n’est actuellement qu’appliquée sur les campus du réseau de l’enseignement supérieur, gagnerait à être déployée dans les différentes sphères de la société civile. », relate Mélanie Lemay, membre-fondatrice de Québec contre les violences sexuelles.
À PROPOS DE LA FECQ
La Fédération étudiante collégiale du Québec (FECQ)représente près de 78 000 membres provenant de 27 cégeps répartis sur tout le territoire québécois. Depuis plus de 25 ans, elle contribue à l’amélioration des conditions de vie et d’études de la population étudiante collégiale québécoise en étant la seule organisation à représenter exclusivement leurs intérêts.
À PROPOS DE L’UEQ
L’Union étudiante du Québec(UEQ)a pour mission de défendre les droits et intérêts de la communauté étudiante universitaire, de ses associations membres et de leurs membres, en promouvant, protégeant et améliorant la condition étudiante et la condition des communautés locales et internationales. Elle compte plus de 88 000 membres universitaires à travers le Québec.
À PROPOS DE QCVS
Québec contre les violences sexuelles (QCVS) est un mouvement apolitique formé de personnes militantes qui souhaitent dénoncer la façon dont les violences sexuelles sont abordées en société. QCVS travaille avec des organismes communautaires, des associations étudiantes, des avocats, des victimes de violence sexuelle et toute personne qui souhaite militer. Le mouvement souhaite identifier et revendiquer des moyens concrets pour éduquer et sensibiliser la population à la culture du viol, financer les ressources communautaires et s’assurer que les institutions postsecondaires répondent de façon adéquate à la violence sexuelle.
-30-
SOURCE
Fédération étudiante collégiale du Québec (FECQ)
Union étudiante du Québec (UEQ)
Québec contre les violences sexuelles (QCVS)
INFORMATIONS
Noémie Veilleux, vice-présidente et attachée de presse (FECQ)
514-554-0576
[email protected]
« Et toi, ta politique? » est une initiative lancée sur les réseaux sociaux afin de recueillir des témoignages d’étudiantes et d’étudiants issus du milieu collégial et universitaire quant aux répercussions de la Loi visant à prévenir et à combattre les violences à caractère sexuel dans les établissements d’enseignement supérieur dans leur milieu d’apprentissage. Cette initiative sert non seulement à souligner les bons coups, mais également à assurer à la population étudiante un accès aux ressources maintenant à sa disposition.
OBJECTIFS DE L’INITIATIVE
- Souligner l’entrée en vigueur des politiques institutionnelles pour prévenir et combattre les violences à caractère sexuel dans les établissements d’enseignement supérieur dès le 1er septembre;
- Recenser les bonnes pratiques de sensibilisation et de prévention déjà existantes au sein du réseau;
- Montrer que la Loi représente beaucoup plus sur le terrain que sa teneur légale et qu’elle peut faire la différence dans la vie des étudiantes et des étudiants;
- Assurer une application adéquate de la Loi dans le réseauet recenser les problématiques liées à son déploiement.
CITATIONS
« La loi qui entre en vigueur aujourd’hui est innovante et a le potentiel d’amener une culture de consentement sur les campus. Le ministre Jean-François Roberge doit s’assurer que son déploiement sera conforme à l’esprit qu’on a voulu lui donner et que chaque établissement soit pleinement outillé. », affirme Philippe Clément, président de la Fédération étudiante collégiale du Québec.
« Évidemment, nous appuyons les initiatives mises en place par les universités pour prévenir les violences à caractères sexuels. Le problème, c’est l’inégalité des ressources disponibles d’un établissement à l’autre pour offrir l’environnement le plus sécuritaire possible. C’est pour cette raison que des ressources interétablissements, comme celle-ci, sont nécessaires. », souligne Philippe Lebel, président de l’Union étudiante du Québec.
« Cette initiative est une belle manière de souligner les avancées dans le dossier des violences sexuelles. Cette nouvelle loi, qui n’est actuellement qu’appliquée sur les campus du réseau de l’enseignement supérieur, gagnerait à être déployée dans les différentes sphères de la société civile. », relate Mélanie Lemay, membre-fondatrice de Québec contre les violences sexuelles.
À PROPOS DE LA FECQ
La Fédération étudiante collégiale du Québec (FECQ)représente près de 78 000 membres provenant de 27 cégeps répartis sur tout le territoire québécois. Depuis plus de 25 ans, elle contribue à l’amélioration des conditions de vie et d’études de la population étudiante collégiale québécoise en étant la seule organisation à représenter exclusivement leurs intérêts.
À PROPOS DE L’UEQ
L’Union étudiante du Québec(UEQ)a pour mission de défendre les droits et intérêts de la communauté étudiante universitaire, de ses associations membres et de leurs membres, en promouvant, protégeant et améliorant la condition étudiante et la condition des communautés locales et internationales. Elle compte plus de 88 000 membres universitaires à travers le Québec.
À PROPOS DE QCVS
Québec contre les violences sexuelles (QCVS) est un mouvement apolitique formé de personnes militantes qui souhaitent dénoncer la façon dont les violences sexuelles sont abordées en société. QCVS travaille avec des organismes communautaires, des associations étudiantes, des avocats, des victimes de violence sexuelle et toute personne qui souhaite militer. Le mouvement souhaite identifier et revendiquer des moyens concrets pour éduquer et sensibiliser la population à la culture du viol, financer les ressources communautaires et s’assurer que les institutions postsecondaires répondent de façon adéquate à la violence sexuelle.
-30-
SOURCE
Fédération étudiante collégiale du Québec (FECQ)
Union étudiante du Québec (UEQ)
Québec contre les violences sexuelles (QCVS)
INFORMATIONS
Noémie Veilleux, vice-présidente et attachée de presse (FECQ)
514-554-0576
[email protected]